Philippe Creux revient sur ParlonsRuby pour parler d’ActiveAdmin !
En moins de 3 ans, ActiveAdmin est devenu incontournable dans le monde Ruby On Rails. En quelques lignes de code, ce gem permet de créer une belle interface pour lister, voir et éditer les modèles ActiveRecord. Un gain de temps considérable !
Comment fonctionne ActiveAdmin ? Comment le gem est-il testé ? Jusqu’où peut-il aller ? Tout sur ActiveAdmin !
]]>Gemnasium
Imaginez. Vous développez des applications Rails pour vos clients, en mode « prestation de service ». Un jour, un client vous contacte pour faire évoluer un projet livré il y a deux ans. L’évolution semble triviale, et vous déterrez le code source avec enthousiasme. Mais le terrain est miné : l’application Rails repose sur de nombreux gems obsolètes. Il faut d’abord migrer, et cela va prendre du temps. Mauvaise surprise. On ne vous y prendra plus, et vous jurez de surveiller vos « projets dormants » ! Cette histoire est la vôtre ? C’est celle des Tech-Angels !
Chez Tech-Angels, les développeurs surveillent constamment les projets Rails de leurs clients. Ils recherchent les dépendances obsolètes, coûteuses à migrer, ou simplement dangereuses pour la sécurité. Cette surveillance était d’abord manuelle. Mais les scripts ont évolué vers un véritable produit appelé Gemnasium. Gratuit pour les projets open source, Gemnasium analyse et suit tous les dépendances d’un projet Ruby. Tout simple, non ? Avec Philippe Lafoucrière et Xavier Dumesnil de Tech-Angels, nous verrons que la mission n’est pas triviale !
]]>En 2012, Matthieu Segret est développeur Ruby On Rails en freelance. Son marché est prospère, mais ses clients ont des difficultés à recruter des développeurs qui connaissent le framework. Matthieu est alors sollicité pour former des développeurs PHP à Rails. Il accepte et, rapidement, d’autres demandes de formation arrivent ! Matthieu donne alors des formations via des centres agréés. Puis il se décide : il quitte le freelance et crée Human Coders avec Camille Roux. Human Coders porte une vision différente de la formation : un groupe réduit, des parcours individualisés, et beaucoup de pratique !
Bien avant Ruby On Rails, Hugo Frappier a déjà connu un parcours éclectique : C, X11, cartes 3D, et même jeux vidéo sur XBox ! Mais après quelques années chez Ubisoft, il veut quitter l’univers des jeux vidéos, change de département, et développe des applications web avec Microsoft .NET. Puis il découvre Rails ! Fin 2006, Hugo quitte Ubisoft et consacre un mois pour une immersion totale : il dévore Agile Web Development with Rails et devient amoureux de ce tout nouveau framework. Hugo devient freelancer Rails !
Jérémy rejoint HotelHotel en 2009. L’équipe utilise PHP et Symfony, mais il propose d’utiliser Ruby On Rails pour créer le prototype qui deviendra hotelhotel.com. Aujourd’hui, le site recense 450,000 hôtels et traite quotidiennement des milliers de requête, avec une constellation d’applications Ruby et Rails. C’est un outil de « metasearch » qui collecte, agrège et enrichit les données de 16 centrales de réservation.
Ori Pekelman a connu les débuts de la micro-informatique, dans les années 80, jusqu’à l’explosion de l’Internet. Et il travaille dans « le web » depuis que ce mot signifie quelque chose ! Ori nous raconte la naissance d’AF83, ses années PHP, puis la bascule rapide et totale vers Ruby et Ruby On Rails. Curieux et autodidacte, il explore sans cesse de nouvelles technologies, comme Erlang et Node. Mais il reste fidèle à Ruby… pour moment. Et pourtant, Ori s’interroge sur l’avenir de son langage préféré. Programmation parallèle, « scalabilité », calcul numérique, Big Data : Ruby est-il armé pour durer ?
]]>Attention ! Jean-Daniel prend le train dans 16 minutes !
]]>Yann Lugrin
Depuis 2005, Yann Lugrin a parcouru un long chemin avec Ruby On Rails. Peu de temps après avoir fondé Liquid Concept, société de développement web sur Lausanne, Yann quitte Zope et se lance dans l’aventure Rails, avec la version 0.8. C’est d’abord un changement radical, avec des espoirs, des sources de satisfaction… et aussi des frustrations. Après toutes ces années, le célèbre framework web a certainement gagné en maturité, et son utilisation est beaucoup plus confortable. Et surtout, Rails est maintenant soutenu par un écosystème dynamique. Rétrospective, avec Yann.
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